Problèmes familiaux, baisse de motivation, maladies… Il existe de nombreuses raisons qui peuvent être à la source d’une absence au travail. Cependant, une absence imprévue, non autorisée, et surtout dépourvue de justification présente un manquement à ses obligations contractuelles de ponctualité et d’assiduité. Cela peut entraîner des sanctions pour faute grave. Cet article vous donne plus de détails sur les sanctions possibles en période d’intérim.
Qu’est-ce qui est considérée comme absence injustifiée en Intérim ?
En intérim, la définition d’une absence injustifiée est la même que celle chez un salarié. Autrement dit, quand l’intérimaire ne se présente pas à son poste, il y a absence injustifiée s’il ne présente pas d’autorisation préalable de l’employeur ou s’il ne possède pas un justificatif d’absence valable.
En effet, à l’image d’un salarié en CDI ou en CDD, un intérimaire se doit de justifier son absence au cours d’un travail. Afin de respecter le droit du travail, il est obligé de préciser la raison de son absence : arrêt maladie, accident du travail… Dans le cas où l’intérimaire ne respecterait pas la procédure, il s’engage à payer des dommages et intérêts à son employeur. Pour mieux comprendre les aléas d’une absence injustifiée, il est essentiel de faire un tour d’horizon sur les sanctions que risque l’intérimaire.